D‘après ’Abdullâh Ibn Mas'ûd (رضي الله عنه) qui rapporte:

« Dans la tombe, les anges du châtiment viennent à l'homme du coté de ses pieds, alors ces derniers leurs disent : « Vous ne seriez l’atteindre par ici car il récitait la sourate Al-Mulk (La Royauté) ». Ensuite, ils viennent [pour le châtier] du coté de sa poitrine (ou a-t-il dit : de son ventre), alors cette dernière leur dit :

 « Vous ne seriez l’atteindre de ce coté car il récitait la sourate Al-Mulk. » Ils viennent alors du coté de sa tète, et celle-ci leur dit : « Vous ne seriez l‘atteindre par là car il récitait la sourate Al-Mulk. » Ceci car elle est la protectrice (al-mâni’a) d’entre les châtiments de la tombe. Elle est citée dans la Thora, et quiconque la récite dans la nuit se verra gratifié d’une bonne et grande rétribution. »

(Rapporté par Al-Hakim 3/322, At-Tabarani dans « Al-kabir » n°8565/8566. Voir aussi Abû Ya’la dans « Tabaqât al-hanabilah » 2/145 et Abû Nu’aym dans « Al-hilya » n°10701 dans des termes proches, jugé hasan par Al-Albani dans « Sahih at-targhib » n°1475)

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Dans une autre version abrégé, ’Abdullâh Ibn Mas'ûd (رضي الله عنها) a dit:

« Quiconque récite {Tabârak al-ladhî bi-yadihi al-Mulk*} chaque nuit, Allâh le préservera du châtiment de la tombe. Du temps du Messager d'Allâh (صلى الله عليه وسلم) nous l'appelions la protectrice (al-mâni‘a). Elle est, en fait, une sourate du Qur'ân dont la récitation chaque nuit est source d'une bonne et grande rétribution.»

(Rapporté par An-Nasâ’î dans « Al-kubra » n°10475, At-Tabarani dans « Al-’awsat » n°6216 et jugé hasan par Al-Albani dans « Sahih at-targhib » n°1475/1589)

(*) c'est-à-dire la sourate n°67 / Al-Mulk (La Royauté)